Militant du Barcelone des temps héroiques où il avait connu entre autres S. Segui, A. Pestaña et Samblancat, Daniel Perea Ferrandiz avait combattu pendant la guerre sur le front de Teruel. Fait prisonnier à la fin de la guerre à Torrebaja, il avait été conduit à pieds jusqu’à Teruel. Il fut ensuite interné au camp d’Albatera, dans les prisons de Porta Coeli, Cartagène et Valence et à la maison de redressement d’Alicante. Après sa remise en liberté conditionnelle, il résida quelque temps à Hospitalet avant de passer en France le 28 janvier 1945.
Daniel Perea Ferrandiz, devenu aveugle, résidait toujours en France en 2000.