En février 1954, Anselmo Plasencia Iglesias avait été traduit devant un conseil de guerre tenu à Ocaña contre 11 militants socialistes (voir Rafael Gonzalez Gil). Il fut condamné à une peine de 10 ans de prison.
Le dictionnaire des guérilleros et résistants antifranquistes, tente de répertorier les hommes et femmes de toutes tendances (anarchistes, communistes, socialistes, sans parti) ayant participé pendant près de quarante ans, (1936-1975) souvent au prix de leurs vies ou de longues années de prison et souvent dans une indifférence générale, à la lutte contre la dictature franquiste. Ce travail a été commencé il y a plus de vingt ans par l’historien libertaire Antonio Tellez Sola (1921-2005) en collaboration avec Rolf Dupuy du [*Centre International de Recherches sur l’Anarchisme*] (CIRA).
En février 1954, Anselmo Plasencia Iglesias avait été traduit devant un conseil de guerre tenu à Ocaña contre 11 militants socialistes (voir Rafael Gonzalez Gil). Il fut condamné à une peine de 10 ans de prison.
José Paz qui, selon la police, était le délégué de la section juridique de la CNT, avait été arrêté à Barcelone lors de la vaste rafle de mai 1950 où furent décapités le groupe d’action de Gines Urrea Piña notamment.
Début 1950, Mariano Pelaez Garcia avait été arrêté à Barcelone pour activités antifranquistes avec Antonio Soriano Ruiz et Antonio Reverter Pedro.
A l’été 1947 les frères Antonio et José Priego avaient été traduits devant un conseil de guerre tenu à La Corogne
Andrea Pereira avait été arrêtée en avril 1945 lors de la rafle qui avait décapité le PSUC et l’Agrupación guerrillera de Catalunya.