Au printemps 1947 Juan Amoros avait été cerné dans une maison de Malaga. Il fit tué lors de l’assaut, tandis que deux membres de la Guardia Cicil étaient gravement blessés.
Le dictionnaire des guérilleros et résistants antifranquistes, tente de répertorier les hommes et femmes de toutes tendances (anarchistes, communistes, socialistes, sans parti) ayant participé pendant près de quarante ans, (1936-1975) souvent au prix de leurs vies ou de longues années de prison et souvent dans une indifférence générale, à la lutte contre la dictature franquiste. Ce travail a été commencé il y a plus de vingt ans par l’historien libertaire Antonio Tellez Sola (1921-2005) en collaboration avec Rolf Dupuy du [*Centre International de Recherches sur l’Anarchisme*] (CIRA).
Au printemps 1947 Juan Amoros avait été cerné dans une maison de Malaga. Il fit tué lors de l’assaut, tandis que deux membres de la Guardia Cicil étaient gravement blessés.
Miguel Antonio Martell Ton d’Arcavell servait en 1944 de guide entre l’Ariège et l’Espagne, notamment pour les guérilleros de la 3e Brigade. C’est lui qui en juillet 1944 avait notamment fait passer un groupe de la Brigade Luis Companys de l’Alianca nacional de Catalunya (ANC) adhérent à l’Union (…)
En 1944-1945, Anaya travaillait sur un chantier près de La Forge d’Abel à Urdos. Avec Ortega et Carlos Dorado Fernandez, qui travaillaient sur le même chantier, il servait de guide à de petits groupes de guérilleros s’infiltrant en Aragon.
Marcos Andres Lopez, qui était marié et père de deux enfants et travaillait aux chemins de fer de Sant Vicenç de Castellet (Barcelone) était sans doute passé en France lors de la Retirada. A l’automne 1944 i avait participé dans le cadre de l’opération Reconquista de España aux pénétrations en (…)
Juan Añon Santos était l’un des responsables de la CNT de La Corogne. Détenu lors du coup d’État franquiste de juillet 1936, il fut remis en liberté quelques jours plus tard. De nouveau arrêté en 1940, puis en 1942 ul fut remis en liberté provisoire à la fin 1949.